Quand on est au volant, il ne faut surtout pas oublier que l’alcool est strictement associé aux accidents de la route. Les effets sont donc multiples et ce dès le premier verre d’alcool. Il y’a surement une forte raison qui laisse la conduite et l’alcool et la conduite incompatibles ; pour une raison c’est qu’il modifie les comportements et les perceptions du conducteur d’une manière remarquable. Retrouvez plus d’informations sur ce sujet sur www.assurance- alcoolemie.fr. En attendant voici en un résumé.
Quand le conducteur est sous l’effet de l’alcool, le degré de vigilance baisse et le conducteur perçoit mal la route et les obstacles qui peuvent avoir lieu, les automatismes diminuent et les gestes deviennent mal coordonnés. Cela est du à la surestimation de soi induite par la consommation d’alcool qui fait qu’on prétend connaître la route et les risques, chose qui peut avoir des conséquences sérieuses sur le conducteur et son véhicule.
En effet, quand un conducteur est à jeun, il lui faut 1 seconde pour amorcer son freinage à la vue d’un obstacle. Plus le taux d’alcool dans le sang augmente, plus le temps de réaction du conducteur augmente. Par exemple, dès 0.5 grammes par litre de sang, le temps de réaction est de 1.5 seconde. Concrètement, un conducteur à jeun qui route à 90 km/h va parcourir 25 mètres avant de freiner, alors qu’un conducteur dont le taux d’alcoolémie a atteint 0.5 grammes par litre, il va parcourir 38 mères avant d’arrêter la voiture.
La perception de la route n’est plus la même. En effet, le champ visuel est rétréci et la perception des objets vus latéralement est altérée. Ainsi que les distances ne sont pas perçus de la même manière. Sans oublier que le temps de réaction visuelle s’allonge.
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